Pourquoi l’EPITA a participé à cette conférence de l’EAIE ?
Nazima Canda : Le but était de rencontrer et d’interagir avec plusieurs de notre soixantaine de partenaires académiques présents, cette conférence étant l’une des trois plus importantes au monde dans son domaine avec celles de la NAFSA : Association of International Educators aux États-Unis et de l’Asia-Pacific Association for International Education (APAIE) en Asie. Il était primordial pour nous de faire partie de ce rendez-vous réunissant les meilleures écoles européennes, mais aussi américaines, asiatiques, etc. Cela nous permet d’échanger et de recueillir des informations afin de diversifier au mieux nos stratégies internationales.
Qui avez-vous rencontré sur place ?
Nos partenaires actuels, bien sûr, mais aussi d’autres établissements avec lesquels nous serions potentiellement amenés à développer de futures collaborations et d’entrevoir de nouvelles opportunités pour nos étudiants.
Cette conférence va-t-elle permettre d’encore augmenter la visibilité internationale de l’EPITA ?
Notre participation à cet évènement est même un élément clé pour l’internationalisation de l’école ! Avoir une visibilité mondiale de plus en plus affirmée est une étape obligatoire pour une école d’ingénieurs comme la nôtre car le rôle même de l’EPITA est d’exporter son savoir-faire et son expertise uniques en sciences informatiques. La conférence de l’EAIE nous offre ainsi l’opportunité de renforcer nos liens avec nos partenaires sur de nombreux sujets, qu’il s’agisse de la mobilité sortante ou entrante ou de la présentation de nos nouveaux programmes dédiées aux étudiants internationaux souhaitant venir étudier en France, à savoir le Master of Engineering et le Master of Computer Science, sans oublier notre centre FLE et nos Summer Schools.
Enfin, à titre personnel, quels souvenirs ramenez-vous de ce séjour sur les bords de la Mersey ?
Découvrir Liverpool, le berceau des Beatles, était une expérience extraordinaire. Imaginez-vous avec 5 000 collègues internationaux en train de courir dans tous les sens durant la journée et retrouver ces mêmes collègues le soir dans un pub typiquement anglais, c’était vraiment a hard day’s night !
Pour être représentée sur le stand Campus France de cet événement rassemblant les meilleurs établissements européens ainsi que plusieurs écoles de renoms venues d’Amérique et d’Asie, l’ESME Sudria pouvait compter surLauriane Blandel, lnternational Development Officer et Julie Wolff, International Mobility Coordinator. Ces dernières ont profité de ces trois jours passés au bord de la Mersey pour renforcer les liens avec les universités partenaires, et nouer de nouveaux contacts en vue de futurs rapprochements. « Nous travaillons à optimiser la mobilité sortante de nos étudiants en leur proposant un choix toujours plus large et attractif d’universités partenaires au sein desquelles ils peuvent effectuer leur semestre international obligatoire de 3e année et en développant les possibilités de double-diplôme à l’International, explique Lauriane Blandel. Lors de cette conférence de l’EAIE, Julie et moi avons aussi pu présenter les programmes existants de l’ESME Sudria ainsi que deux nouveautés visant à renforcer la mobilité entrante, à savoir la Summer School « Become a Maker » et un programme d’échange en anglais. Nos interlocuteurs se sont montrés très intéressés et cela devrait donner lieu à de belles collaborations dans un avenir proche. »
@ESMEsudria at #EAIE2016 with @CampusFrance booth #520 pic.twitter.com/nlcDCDOOAC
— JohannaR_Campus (@JohannaR_Campus) September 14, 2016
Julie Wolff en discussion avec des représentants du Beijing Institute of Technology (Chine), partenaire de l’école depuis 2013.