La mémoire collective est très importante et très chère à nos cœurs! Car c’est la documentation de cette mémoire collective qui a permis à l’humanité de connaitre, analyser et comprendre ce qui est arrivé aux différents groupes, ethnies et aux nations entières pendant l’Histoire.
Un grand nombre d’atrocités du régime totalitaire albanais semblent appartenir à la préhistoire malgré le fait qu’ils ont été commis au cours du vingtième siècle. L’élite albanaise anéantie n’est pas encore réhabilitée et la mémoire collective n’est pas documentée. Vingt sept (27) ans après l’établissement du pluralisme aucune loi n’est jamais encore votée sur la mémoire collective du totalitarisme. Cela est nécessaire pour reconnaitre les souffrances imposées à des centaines d’intellectuels réduis au silence, emprisonnées, exécutes (alors que eux mêmes étaient seulement coupables de penser différemment). Et pour leurs enfants innocents mort-nés, morts aux camps de travail faute de soins, des jeunes citoyens qui ont vécus toute leur vie dans des baraques et ont été privés de toute éducation.
Avec participation de l’Artiste peintre Tauland Julian qui a travaillé sur une série de tableaux sur la mémoire collective et le Comédien Arben Bajraktaraj, lecture de la traduction française de Mon Village sait boire le Raki de Mitrush Kuteli. Projection du documentaire portrait Golgota e Lazër Radit.
Le temoignages de la Famille Xhomaqi, Ermira Godo, Blerta Zhegu, Musa Jupolli, Klara Buda, etc