de Rosny-sous-Bois
Le mouvement pour le Paradisme (http://mouvement-pour-le-paradisme.fr) a déclaré le 1er mai : « Journée Internationale du Paradisme », afin de célébrer l'avènement d'une société nouvelle redistribuant l'abondance sans travail ni argent.
Alors que de nombreux pays dans le monde reconnaissent le 1er mai Journée internationale du travail, le mouvement pour le Paradisme a annoncé que le 1er mai devait se transformer en « journée internationale de la fin du travail. Une série de conférences débutera le 1er juin et sera donnée ensuite tous les 1er samedi du mois sur Internet :http://longin.meetship.com/conference/89378766.
Le Paradisme est un système politique et social, similaire au communisme et cela dans le cadre de la redistribution des bienfaits produits par la société, mais sans aucune forme de prolétariat. Le Paradisme, un système qui fonctionne sans argent ni banque, a été lancé officiellement par Raël (www.rael.org) en 2009. Le Paradisme est fondé sur les futures applications et utilisations des nouvelles technologies telles que la robotique, le génie génétique, les nanotechnologies, etc., utilisées pour libérer l’homme du travail obligatoire et améliorer les conditions de vie de l'humanité. Tous les travaux humains peuvent être remplacés par les robots, les nanobots et les ordinateurs.
Il est inacceptable de garder les gens en ‘’esclavage’’ dans des emplois qui peuvent désormais être effectués par des ordinateurs, des machines et outils automatisés.
Les travailleurs pensent actuellement que leur remplacement par des machines conduit inexorablement à une augmentation du chômage et de la pauvreté, mais il n'y a aucune raison qu'il en soit ainsi, si les machines appartiennent au peuple.
Ce remplacement par des machines ne doit pas être effectué au détriment de notre qualité de vie, les profits apportés par la productivité devront être redistribués à tous et pas seulement à quelques-uns.
Le Paradisme apporte les solutions utiles en réponse aux alarmistes qui prédisent la pauvreté généralisée et l'austérité après la chute imminente du capitalisme.
« Il n'y a aucune raison de sombrer dans la pauvreté avec le niveau de technologie que nous détenons maintenant », déclare Raël. « En cette ère de progrès technologique, la science devrait totalement libérer les êtres humains de l'esclavage du travail, leur permettant de se consacrer uniquement à leur épanouissement personnel dans une société qui veille à ce que tous les besoins soient comblés gratuitement ».