Polis, gravés, perforés pour y inscrire une cartographie céleste, les éléments sculptés sont nommés par l’artiste « polyèdres étoilés » car pour elle, citant Gaston Bachelard dans « La terre et les rêveries de la volonté», ces deux mots contiennent “ la synthèse des images de la terre profonde et les images du ciel étoilé ; étonnante synthèse de la rêverie constellante et de la rêverie cristalline”.
Enfumés, les volumes sont d’un noir brillant à la fois capteur et émetteur de lumière - objets supports de contemplation.
Laissés dans leur blancheur, ils dessinent l’ombre et la lumière en contraste doux ou extrême.
Exposées sur les grandes places de l’art contemporain que sont en particulier New York, Miami et Bâle, les œuvres de Nadia Pasquer bénéficient aujourd’hui d’une reconnaissance internationale.