Définitions La "cohésion sociale" est un terme utilisé régulièrement dans les discours politiques ivoirien, les études sociologiques ou dans les médias. Mais que signifient ces termes et quels liens existe-t-il entre ceux-ci et l'intégration, l'inclusion ou l'exclusion ? Pour y répondre, il convient de présenter deux définitions de la cohésion sociale, d'abord selon la Wallonie, puis selon le Conseil de l'Europe : et Pour la mutuelle des Cadres au Publique et au Privé Krobou : de Kouassidé, de Mandeké et d'Oress Krobou: La cohésion sociale : C'est l'ensemble des processus, individuels et collectifs qui contribuent à assurer à chacun l'égalité des chances et des conditions, l'équité et l'accès aux droits fondamentaux et au bien-être économique, social et culturel, et qui visent à construire ensemble une société solidaire et coresponsable pour le bien-être de tous. Les droits fondamentaux : Les droits économiques, sociaux et culturels visés à l'article 23 de la Constitution et d'autres droits devenus fondamentaux par l'évolution de la société krobou issu de la nationalité Ivoirienne. La coresponsabilité : Une attitude ou un sentiment partagé de responsabilité collective par rapport à un ou des objectifs d'intérêt général. Pour l'Organisation Professionnelles Internationales des Médias du Groupe AHMO-MSA : La cohésion sociale : C'est la capacité d'une société à assurer le bien-être de tous ses membres, en réduisant les disparités et en évitant la marginalisation. La stratégie du l'Organisation Professionnelles Internationales des Médias du Groupe AHMO-MSA en matière de Cohésion sociale repose sur 4 idées maîtresses :
1. Réinvestir dans les droits sociaux et une société cohésive : évènementiel, spectacle, industrie, arts danses culture us et coutumes, auto –emploies, création d'entreprise, d'association, de coopérative etc.
2. Bâtir une Afrique uni de ses valeurs, des responsabilités sociales partagées de plan action médiatique
3. Renforcer la représentation et le processus décisionnel démocratique coutumières, ainsi que développer le dialogue social et l'engagement civique à travers des concepts innovateurs
4. Bâtir un avenir sûr pour tous et la santé pour chacun.
En définitive, le concept de cohésion sociale procède d'une vision large de la société, il cherche à impliquer l'ensemble des parties prenantes et ne veut pas se réduire à une lutte contre l'exclusion. Si l'inclusion sociale se concentre sur des politiques et des actions spécialisées, la cohésion sociale recherche une responsabilité civique et sociétale plus large. Elle traduit la recherche d'une nouvelle manière d'appréhender les questions de solidarité à toutes les échelles, locales, nationales, internationales. La cohésion sociale peut donc s'analyser comme un « processus dynamique qui reprend l'ensemble des moyens mis en œuvre pour assurer à tous l'accès aux droits fondamentaux » et le bien-être collectif. La finalité de la cohésion sociale est donc bien d'assurer le bien-être pour tous.
FACE A LA RECONCILIATION Définitions Processus d'acceptation et de déculpabilisation dans l'opinion publique d'une nation, après un épisode honteux de l'histoire récente du pays. La démarche de réconciliation nationale semble double :
- Permettre aux victimes de s'exprimer publiquement,
- Inviter les auteurs d'exactions à reconnaître leurs actes.
L'étude des motivations et des actes des deux factions en présence, ou pourquoi chaque côté jugeait son attitude légitime, doit aider les citoyens du pays actuel, tel qu'il se retrouve à l'issue de ces luttes et de cette période noire, à se sentir désormais membres d'une même entité et à accepter de vivre ensemble. Il s'agit bien sûr d'éviter que le même traumatisme national ne se reproduise. D'où l'idée du DG ERIC NORVA YORAN AHOUZI, le concept de la naissance d'un évènementiel : Festival Nationale de la réconciliation avec l'Artiste MONIKE SEKA et le Ministre DANON DJEDJE, Démarche collective forcément douloureuse et politiquement périlleuse, la réconciliation nationale a connu un de ses exemples les plus aboutis dans l'Afrique du Sud de la transition démocratique, soutenue par le Président Nelson Mandela et le Vice-président F. W. De Klerk (→ Commission Vérité et Réconciliation). Elle représente aussi un puissant mouvement dans les sociétés démocratiques d'Amérique latine, depuis les années 1980. Pour la France, les périodes concernées seraient l'Occupation et la collaboration, les guerres de décolonisation d'une façon générale, la guerre d'Algérie en particulier; en Espagne, la guerre civile qui s'est conclue par l'arrivée au pouvoir du général Franco (réconciliation nationale espagnole).Voir aussi réparation (notion morale et notion juridique).
ERIC NORVA