ASSOCIATION SOUTIEN A L'ARMEE FRANCAISE ASAF 01

Objet : agir en faveur des intérêts moraux, matériels, et sociaux de ceux qui servent ou ont servi dans l’armée française ; défendre les intérêts moraux et l’honneur des anciens combattants et victimes de guerre et des morts pour la France ; favoriser tout ce qui peut rapprocher le pays de son armée en suscitant des actions propres à assurer l’estime, la confiance et le respect des citoyens, envers ceux qui assurent leur sécurité et leur liberté ; promouvoir l’esprit de défense ; exercer les droits reconnus à la partie civile devant les juridictions répressives en réparation des dégradations ou destructions de monuments ou des violations de sépultures, qui ont causé un préjudice direct ou indirect à la mission qu’elle remplit ; en ce qui concerne les délits de diffamation ou d’injures qui ont causé un préjudice direct ou indirect à la mission qu’elle remplit ; lutter contre toute désinformation systématique de notre histoire militaire en dénonçant toutes allégations ou omissions qui dénaturent la vérité de l’histoire militaire française ancienne et moderne portant ainsi atteinte à l’honneur ou à la considération de l’armée française, et, éventuellement, user de toutes les voies de droit pour contraindre leurs auteurs à la corriger et à répondre civilement et pénalement ; agir en justice en défense des intérêts de ses membres, dès lors que ceux-ci sont atteints dans leurs intérêts individuels et auraient pu agir ou agissent concomitamment ; assister ses membres (ou leurs ayants droit) servant ou ayant servi dans l’armée française, contre quiconque voudrait mettre en cause leur responsabilité civile ou pénale ou porter atteinte à leur honneur ou à leur considération, pour des faits liés à leur activité au service de la France ; plus généralement, se saisir de toute question ayant trait à l’honneur ou à la considération de l’armée française quand le ministère de la défense considère que, conformément à la loi, les faits survenus ne relèvent pas de son domaine réservé et qu’il n’est pas le seul à pouvoir intervenir.