"Revenir en arrière serait non seulement dommageable pour le Président et pour moi mais aussi pour le pays".
Donc Mr Valls en terme d'écriture se place avant le pays.
D'autant que dans sa déclaration il rend, indirectement, le Président responsable de ces choix en matière de la réforme du droit du travail : "je ne suis pas un pousse-au-crime. Le Président a décidé de ces arbitrages."
A quand une mise en examen.
Il désigne clairement l'incompétent social : le Président.
Et dire que Jacques Attali qui lui n'est pas un incompétent affirme : "on y voit des choses hallucinantes."
Chacun comprendra pourquoi une fois de plus l'avion présidentiel est tombé en panne devant la Cordilière des Andes...
Aujourd'hui la différence est flagrante entre Nicolas Sarkozy qui, lui, promettait de gagner plus en gagnant plus (déjà une lapalissade) et le tandem Hollande-Valls et leur ami Gattaz qui se disent, et ils sont les seuls à y croire, que la bonne solution est de travailler plus en gagnant moins.
A quand le drapeau de la Corée du Nord sur les frontons de l'Elysée et de Matignon ?
Le réformisme est d'être pour le bien de l'Etre et non pas pour celui de quelques copains qui pourraient vous assurer des fonds financiers pour la présidentielle de 2017.
Se souviennent-ils (ces jeunes) du 22 mars ?
Et si on commencait par une grève générale....